Témoignages

Bravo pour votre film! Porteur de multiples initiatives éclairantes. J’ai particulièrement été sensible à l’action de ce danois, dont je partage la philosophie. Parvenir à bien différencier perception et réalité et surtout encourager le plus grand nombre à cet effort de réflexion…
Merci et bravo d’avoir aussi eu la transparence et le courage de montrer les limites de cette utopie communautaire. Je vous encourage à multiplier les projections et débats, car ce doc voyagera partout j’en suis certaine. Un grand diffuseur en France c’est bien mais les cases rétrécissent comme peau de chagrin et la vie d’un beau doc, fort et utile comme le votre s’annonce longue.
Merci pour cette projection au Lucernaire !

Ce film explore une riche palette de pistes à explorer pour tenter de sortir les médias de leurs impasses. Bravo pour cette enquête, très utile.

Un regard frais sur le journalisme, mais sans naïveté pour autant. La question est posée: comment repenser une activité si ancienne et la faire évoluer avec l’époque? Le journalisme participatif est peut-être un début de solution proposé avec brio dans ce chouette docu qui donne envie d’aller creuser encore plus profondément les relations entre les médias et le monde. Vivement une plus large diffusion!

Merci et bravo pour cette belle invitation à questionner et responsabiliser chacune et chacun sur les doutes, l’évolution, les missions et le champ des possibles pour se rapprocher d’une information de qualité, alliée de la démocratie. Merci pour ce partage à la lumière de pistes sans frontière.

Ce formidable documentaire débute sur un lieu de vie, un marché, avec des paroles vivantes, sincères et authentiques.
Car les médias, ça sert à parler de la vie et à créer certes en témoignant, mais aussi en analysant et en proposant.
Anne-Sophie Novel (et son équipe!) réalise tout cela et le donne à voir d’une façon humble et limpide.
Elle nous réconcilie avec ce que le métier de journaliste peut avoir de meilleur : non pas celui qui alimente nos peurs, mais celui qui nourrit nos réflexions et nous rend plus humain.

Bravo pour ce film qui tire les nombreuses ficelles de nos questionnements. J’espère aussi qu’il poussera les rédactions à se remettre en question et à mieux embrasser l’époque, et qu’il suscitera une vraie réflexion chez nos auditeurs, lecteurs, téléspectateurs. Vous avez pu trouver de belles séquences et de bons témoins de cette époque si confuse, et pourtant, pas sûre comme Samuel Laurent le dit si bien qu’on était mieux informés avant ! Votre film me dit aussi qu’il faudrait plus de femmes pour driver ces médias…

 Ce film est très dense et très complet. Il embrasse de nombreuses problématiques des medias dans le contexte de l’hyperchoix gratuit offert par le net. L’indépendance, le pluralisme, la diversité, le financement, la concentration, la saturation d’informations… une chose est certaine le journalisme sera toujours indispensable, il faut continuer à défendre cette chance d’avoir le choix de pouvoir s’informer !

Un grand merci pour ce beau docu ! Clair, honnête et surtout très frais ! Des témoignages et des animations fresh fresh fresh… et une petite pointe d’humour que j’adore ! Chapeau bas !

Bravo pour ce film Anne-Sophie
Moi qui ai parfois tendance à me méfier de l’info volontairement et systématiquement « positive » (la réalité n’est jamais ni blanche, ni noire, toujours plus complexe), j’ai beaucoup apprécié ce film qui réussit à transmettre le goût de l’initiative et de l’alternative sans jamais sombrer dans l’angélisme.
Un film qui donne envie d’agir dans le champ des médias et de l’information journalistique, où il y a tant de choses à faire et à inventer : merci !

Longue vie à ce film, qu’il inspire de nombreux/ses journalistes et qu’il fasse réfléchir tous les rédacteurs/trices en chef de France !
Je tente de pratiquer le journalisme constructif depuis des années. On a besoin de preuves comme celle-là pour convaincre. Merci !

C’est fou ! Ce qu’on sait, ce qu’on intuite, ce qu’on dit savoir et qu’on ne réalise pas vraiment. C’est fou cette zone grise entre je sais et je l’oublie. Ce documentaire à hauteur du téléspectateur laisse grandir ce que nous savons mais ne voyons ou ne considérons pas. N’est ce pas d’ailleurs le rôle des journalistes ? Faire grandir cette compréhension individuelle ? Cette conscience du système ? Merci pour cet exercice qui considère notre intelligence de citoyen.

Une interrogation aussi nécessaire que salvatrice. Ce film nous porte pour plusieurs raisons, non seulement parce qu’il pose les bonnes questions et rend compte des solutions ou des alternatives possibles. Mais d’abord parce que c’est un formidable rappel autant qu’un témoignage du travail et de l’implication de ces artisans de l’information. Au delà la garantie et la promesse d’une démocratie sauvegardée.

Soirée très intéressante hier à l’UNESCO !
Belle vie à votre doc et à toutes ces démarches inspirantes dont nous avons cruellement besoin pour favoriser le « vivre ensemble ».

Un doc qui permet de faire le point, qui aide à y voir clair, qui donne aussi des espoirs. A partager, à faire voir à… bah à tout le monde en fait. L’information et les médias, une des clés de la démocratie, si on veut en être acteur, il faut être conscient. Bravo à l’équipe.
Et… c’est quoi la voiture de Paoli, c’est vrai qu’elle a l’air bien cool 🙂

Such an interesting narrative, such powerful questions and so well made ! It addresses so many important issues facing journalism and society – and highlights some very forward-thinking news organisations that might just save both ! Loved it ! I hope you get a large audience 🙂

Superbe travail qui donne de l’éclairage sur votre profession et les difficultés que nous rencontrons (média et consommateurs de l’info) sur la défiance grandissante vis à vis de votre profession et des informations diffusées.. Maintenant la question que je me pose. Comment faire le Tri entre tous ces supports de communication? Comment redonner confiance aux consommateurs à votre profession et à l’information générée ?
Ne faut il pas créer une charte, un label afin de donner aux consommateurs une vision globale du support de communication qu’il a choisi de suivre avec des critères de choix discriminant (indépendance politique, indépendance étatique, indépendance industrielle,% de financement par la pub, financement participatif, % de fake News ……)
J’espère qu’un jour nous y verrons plus clair dans la diffusion de l’information afin de faire évoluer ce monde positivement.

Salut c’est Donald, pas mal vot’ film 🙂 ça m’donne envie d’dire moins conneries

Salut ! Moi j’aimerais juste savoir : c’est quoi la bagnole de Stéphane Paoli dans le film ? Elle a l’air vraiment cool !!

Un film enthousiasmant qui ne laisse aucune place à l’amertume, pourtant facile dans le monde des médias. Tout le contraire : un regard positif et constructif, bravo! Nous avons aussi eu la chance d’accueillir Anne-Sophie, de discuter avec elle et d’echanger ensemble avec ce même regard constructif. Merci! 🙏

Ce film est une réussite. Enfin un propos qui explique la complémentarité entre journalisme d’investigation et de solution. Autre bon rappel : revenir au terrain, écouter les lecteurs, se demander comment son média contribue à la démocratie, comment il fait société. Ce documentaire est aussi une analyse honnête et fine des médias. Il est aussi une impulsion, une source d’inspiration qui donne envie d’innover en tant que journaliste. Il y a de l’espoir, il y a un horizon à ce métier à partir du moment où l’on se pose les bonnes questions. Un grand grand bravo à toute l’équipe et longue vie au débat qu’il va susciter. 🎬✌

Excellent documentaire qui témoigne bien de la période charnière que vit aujourd’hui le monde des médias. Dans la tourmente actuelle, face aux fake news et aux pratiques courantes du copier-collé de journalistes peu scrupuleux ou débordés, le film présente de nouvelles formes participatives et rafraîchissantes de ce métier.
Les témoignages et analyses des professionnels interrogés sont remarquables, et donnent de l’espoir. On attend avec impatience le livre et la série qui doivent suivre.

Il était une fois un passionnant voyage dans le monde des journalistes de la presse écrite. Merci de nous l’avoir offert.

Un grand MERCI pour cette fraîcheur ! Merci pour la découverte d’initiatives qui donnent espoir !!! Merci également car les conclusions données à la fin du film sont similaires (coopération, participatif et humilité…) à ce qu’on peut trouver dans d’autres domaines en pleine mutation notamment le monde du Travail !

 J’ai eu le bonheur de visionner cet excellent documentaire le 28 mars à l’unesco. Les témoignages sont aussi riches les uns que les autres. Le sujet est traité sans langue de bois. Le débat qui a suivi avec l’équipe du film. Élise Lucet… m’a conforté dans la nécessité de prendre mes responsabilités dans le choix des médias que j’écoute. Bravo.

Belle investigation dans le monde médiatique avec une approche plutôt bien vue et très actuelle. On y découvre des alternatives aux médias traditionnels et se profile déjà le futur de ce métier. En bref, un documentaire riche et utile.

J’étais à l’UNESCO hier soir pour l’avant-première, bravo et félicitations ! J’ai apprécié le point de départ de cette démarche qui part du terrain par l’interview de citoyens et citoyennes ordinaires pour finalement aboutir à une réflexion globale sur le modèle, la viabilité et le sens.
Je vous souhaite tout le succès attendu pour le rayonnement de ce film utile à la profession de journaliste mais aussi probablement au plus grand nombre !

Bravo Anne-Sophie Novel pour ce film : ça donne la niak, l’envie de se réinventer et ne jamais lâcher le morceau. 

Je viens de regarder Les médias, le monde et moi.
J’ aime sa liberté de ton et de fond
les pistes qui se dessinent
J’ai été touchée par l’histoire météore de l’ebdo
Je partage la conscience des menaces pour la démocratie,
mais aussi la confiance dans les générations plus jeunes
C’est tout plein de croisement d’énergies.

Quel bonheur de voir et surtout de comprendre les bienfaits et les méfaits des médias. De réfléchir autrement. J’espère que ce film puisse être diffusé au niveau national car c’est une prise de conscience nécessaire à chacun et même si comme moi on a pas fait de hautes études littéraires ou scientifiques, la vulgarisation du sujet le rend accessible à tous. Bravo à toute l’équipe !

Ravi d’avoir contribué au financement du film ! Des pistes stimulantes pour restaurer la confiance entre les lecteurs et les médias et réinventer le journalisme (au moins aussi capital que trouver un business model)

Un documentaire intelligent, ludique, fouillé et plus que pertinent. Chiffres, témoignages, analysés, micro trottoir, illustrations pédagogiques, on a tous les ingrédients d’un excellent documentaire (mon petit doigt me dit même qu’il aura bientôt un prix!)
Bravo car vu la haute qualité du film, alors qu’il n’y avait que 2 journalistes pour TOUT faire, c’est de la haute voltige.

Merci pour cet éclairage sur les médias d’aujourd’hui, leurs impasses et commencer à dessiner ce que sera le journalisme demain…

Frustrant, il passe trop vite ! Ce serait top de poursuivre avec une série qui allierait explorations d’initiatives et débats d’éducation aux médias et à l’information. J’espère que le film sera beaucoup vu, il questionne individuellement sur notre propre rapport aux médias et au travail des journalistes. Comme indiqué à la fin, on repart avec beaucoup de questionnements.

Une vision optimiste quant au renouveau médiatique qui m’a conforté dans mon choix d’étude. Je recommanderai ce documentaire aux personnes qui me demandent pourquoi je fais des études de journalisme alors que « la presse va mal et que c’est un métier bouché ! »
Ce film m’aidera à mener mon projet qui tend à rendre visible les médias alternatifs et indépendants.

M’bolani !

J’ai eu le plaisir de partager la projection de ce documentaire à Bruxelles le 15 mars dernier avec un public attentif à cette problématique ! Un vrai plaisir !

Je partage vraiment l’analyse que vous développez ! « les conditions de fabrication de l’information rendent souvent difficile le traitement de la complexité du monde. De fait, dans un monde soumis à une multiplicité de transformations en constante accélération (mondialisation, numérique, mutations économiques et sociales, disparition du vivant, changement climatique) il est peut-être temps de poser les questions – et fournir les réponses – autrement ».

Sur la base de cet opus (et des contacts établis), j’aimerais vous motiver à donner une suite à ce travail essentiel pour la démocratie participative !

Voici un bref avant-projet (orienté davantage sur les réseaux sociaux :

Media : Structurer la connaissance : Google n’est pas une fatalité, mais Facebook une calamité !

Cela fait 3 siècles que des media produisent de l’information ! D’abord essentiellement du texte, puis de la photo et enfin de l’audio et de la video grâce à la maîtrise de l’espace/temps. A cela est venu s’ajouter la dimension interactive via l’explosion des réseaux et des services numériques.

La révolution numérique n’a pas fondamentalement bouleversé les médias traditionnels. Pour eux le numérique est devenu un moyen de produire plus, plus vite et parfois moins bien ! L’ajout d’une publication web (hors ligne) a constitué un casse tête pour la majorité d’entre eux car elle brisait le cadre établi des fenêtres (vitesse de l’information) ! L’ajout de blocs (peu monitorés) n’a pas modifié la ligne guide de la diffusion en direct (en ligne) du producteur au consommateur d’informations ! Dans ces conditions, le résultat, le contenu produit n’a fait l’objet d’aucune analyse sur sa capacité à représenter à la fois le contenu et la complexité de la réalité (le contexte) ! La ligne éditoriale des Media réalise ce qu’Albert Einstein déconseille, à savoir simplifier un problème au lieu de le rendre plus simple !

Cette vision ne cadre pas avec le développement des réseaux sociaux ! Si la forme de la représentation est toujours identique (du contenu), l’industrialisation est complètement différente. Chaque publication sur Facebook, chaque consultation via Google ou achat sur Amazon font l’objet d’un traitement qui vise à extraire des données qui puissent être élevées au niveau d’une connaissance (le contexte de l’usager) ! C’est un saut particulièrement important du fait qu’il crédibilise les mécanismes d’extraction de connaissances et que ces dernières assurent des revenus d’un niveau sans précédents dans l’histoire du fait notamment d’une concentration sur peu d’acteurs.

Si les GAFA sont à même d’extraire des profils des utilisateurs (via des ontologies comme FOAF, ..) à leur propre profit, l’industrie des Media pourrait utiliser ces mêmes technologies non pas pour collecter des données privées, mais bien pour étoffer la publication sous un mode neuf à savoir l’information classique (en avant plan) et une représentation du contexte (en arrière plan), à l’identique de l’onglet «source » sur une page web !

Les outils pour fabriquer ces extractions de connaissances sont disponibles, l’internet dispose en son sein des langages indispensables à leurs représentations (RDF & OWL) et le Linked Open Data fournit l’essentiel des protocoles pour l’interaction.

Une telle formule offrirait de nombreux avantages sur le plan de la navigation sur l’internet, de la gestion des traductions, de la contribution à une société de la connaissance ouverte, de l’archivage ! Le fait de construire une représentation de la connaissance intrinsèque à un contenu d’information constituerait une offre complémentaire pour les Medias traditionnels ! Elle permettrait le traitement et la recherche en ligne (sans passer par l’intermédiaire d’un stockage/traitement par Google qui monnaie cette prestation).

Dans ce contexte, il faut aussi analyser :
– le concept de gratuité (payé par quelqu’un d’autre pour une bonne ou mauvaise raison) : en fait c’est un cancer … il ruine tout le contexte d’une juste concurrence prônée par l’économie libérale !
– la responsabilité éditoriale : dans une démocratie pouvons-nous accepter l’idée de conférer à n’importe quelle personne le droit de publier sans aucune obligation ? Les règles qui prévalent pour la presse pourraient être d’application : pas de censure préalable, mais un éditeur responsable et en l’absence une co-responsabilité du moyen de diffusion !
– dans un monde globalisé à la vitesse de la lumière faut-il nécessairement accepter l’idée d’une diffusion en « direct » sur des plate-formes hors contrôle démocratique ! Un délai de l’ordre de 5 à 10 minutes (sur la base d’un pré-traitement sémantique) devrait suffire pour éviter des dérapages particulièrement dévastateurs !
– l’internet est un concept militaire à la base, c’est un outil destiné à faciliter entre autres l’espionnage à peu de frais ! Pouvons-nous construire une société de la connaissance sur une infrastructure dont le cadre légal est à l’opposé de la réglementation des Télécommunications !

Merci pour votre bonne attention … je suis à votre entière disposition si vous souhaitez indaguer cette vision « technologique » !

Une oeuvre revivifiante d’Anne-Sophie Novel, qui permet de mieux comprendre le monde compliqué des médias, de s’en sortir au milieu de cette jungle de l’infobésité, et de réaliser que nous aussi, citoyens de tous horizons, nous avons notre rôle à jouer dans la réinvention du journalisme, de manière constructive et salutaire !

Oui bonjour,  vous y croyez vraiment là, à ce que vous dites sur les nouveaux modèles de demain ? Non mais, parce l’audimat, le temps d’antenne, le mass media c’est quand même utile, faut pas croire que la ménagère de moins de 50 ans elle va un jour se passer de pub et de divertissement. C’est le socle de notre économie, la consommation. Si ce sont pas les annonceurs qui nourrissent le temps de cerveau humain disponible, qui va le faire ? Les journalistes ? Vous y croyez vraiment ?? Ahahhaha, laissez moi rire 🙂 

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